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texte petite elfe (texte pour un rituel dans un roplay fait sur 4/5 mois):

Petite elfe deviendra grande,

Petite elfe fera surgir la vie,

Petite elfe prendra une lourde décision,

Petite elfe ce sacrifiera pour son prochain,

Petite elfe risquera sa propre vie,

Petite elfe vinquera le chaos,

Petite elfe renaitra,

Petite elfe donnera sa vie,

Petite elfe reviendra surement,

Petite elfe survivra t-elle?

Petite elfe se laissera t-elle aller?

Petite elfe sera t-elle sauvée?

Petite elfe se sacrifiera t-elle pour une bonne cause?

Petite elfe deviendra grande...

(L'hitoire d'un perso nommée "Clytemnestre" que je ne joue pas sur wow mais sur un autre jeu. En voici le début)

Selon des contes très anciens, en des temps reculés, les Elfes explorèrent le monde en grand nombre. Leurs oeuvres et leurs hauts faits éclipsaient la splendeur du soleil, alors que les Peuples Humains et Nains étaient à peine sortis des ténèbres. C'était une époque de légendes et de héros, de hauts faits et de destinées grandioses, une époque où le monde savait ce qu'était la véritable splendeur. Cet âge d'or est depuis longtemps révolu, cependant. Les Elfes ont maintenant disparu, victimes de leur aveuglement. Une très vieille et obscure prophétie laissait planer une ombre sur leur avenir, mais la grandeur et la beauté de leur civilisation étaient légendaires... et les Elfes étaient devenus vains et arrogants. Par une nuit où la Lune et la constellation du Centaure étaient alignées, ils reçurent la visite d'une créature de Cauchemar, l'haruspice, qui prophétisa leur disparition prochaine. Il promit qu'il reviendrait et qu'il scellerait leur destin.

Bien des générations plus tard, l'haruspice revint, et les Elfes, qui avaient négligé ses avertissements, furent totalement anéantis - malgré leurs traditions obscures et leurs pouvoirs magiques. Lorsque Harbinger quitta le pays, il ne laissa que des ruines derrière lui.

Puis l'haruspice vint sur les Terres des Nains, qui avaient bâti de grandes cités situées bien plus au Nord, et il prononça sa troisième Prophétie : leur richesse matérielle ne suffisait pas à les rendre dignes de vivre, et eux aussi seraient détruits s'ils ne s'amendaient pas lors de la prochaine venue de l'haruspice. Un millénaire s'écoula paisiblement puis, dans les cieux, la lune et les étoiles formèrent de nouveau leur alignement fatidique. Les Nains, maintenant devenus des artisans et des ouvriers prospères, avaient bâti de grandes et vastes cités et étaient totalement dévoués à leur dieu. Les anciennes prophéties les ayant prévenu que le sort réservé aux Elfes les guettait, ils avaient pris le temps de se préparer et de s'armer. Pourtant, lorsque l'haruspice se présenta de nouveau à eux, ils ne purent supporter ni sa vue ni son odeur répugnante. Le prenant pour un suppôt du mal, ils s'attaquèrent violemment à lui...

Selon les scribes, cette erreur fut la cause principale de la déchéance des Nains, qui furent balayés comme des fétus de paille. La quatrième Prophétie de l'haruspice s'adressa aux humains, témoins de l'apparition du messager : s'ils ne se montraient pas dignes de vivre lors de sa quatrième venue, ils seraient eux aussi anéantis.

Aujourd'hui, l'alignement des étoiles est de nouveau propice à la venue de l'haruspice ... Peut-être s'agit-il d'une légende, peut-être ne sommes-nous qu'un pauvre peuple angoissé vivant sous un étrange alignement d'étoiles qui ne s'est pas reproduit depuis plus d'un millénaire... ou bien l'haruspice parcourt-il en ce moment les terres d'Althéa, jugeant les humains et se préparant à nous tourmenter si nous ne prouvons pas notre valeur ? Nul ne le sait réellement...]

[Depuis les rares survivants de ces deux cataclysmes sont depuis terrés au plus fin fond des grottes et cavernes. Les générations actuels des elfes et des nains vivent en harmonie ensemble parmi de belles cités créer par les nains. Depuis une voir deux générations ces deux peuples ont commencé à remonter vers la surface, mais peu s’aventure loin de leurs trous.

Au cours d’une belle et magnifique journée de septembre Amélia jeune elfe d’handornev et fille du roi des elfes, mit au monde deux sœurs jumelles « Clytemnestre et Calliope ». Évènement qui n’avait pas eu lieux parmi ce peuple, c’était un fait rare et réputé comme mauvais présage si les deux enfants vivaient ensemble. En ces temps-ci élever deux enfants du même âge n’était pas chose facile. Il y eu débat et mainte discutions à savoir laquelle des deux allait être sacrifiée et surtout comment. Il y eu un grand conseil pour débattre sur ce fait:

- (roi) Je déclare ouvert le conseil. Sujet du jour : les jumelles « Clytemnestre » et « Calliope ».

- (conseillé 1) Je suggère qu’on en noie l’une des deux.

- (conseillé 2) Non, égorgeons les, voire les pendre.

- (conseillé 3) Laissons les dans la forêt à la merci des bêtes sauvages.

- (conseillé 4) Chose sûr il faut s’en débarrasser au plus vite.

- (conseillé 5) Et si on en confiait une aux hommes ?

- (conseillé 1) Ouais, bof ça serait une idée. Mais je reste sur ma position d'en noyer une.

- (conseillé 4) Mais si on choisit cette proposition, laquelle choisir ?

- (roi) Et où pensez-vous l'emmener ?

- (conseillé 5) Je vous propose de la confier à la fille du roi « Maelise » et son époux « Stéphane ».

- (conseillé 3) Et pourquoi, à eux ?

- (roi) Argumentez, soyez plus explicite.

- (conseillé 5) J’ai appris par certains de nos informateurs que....

- (roi) Ne faites pas autant de mystères.

- (conseillé 5) Voilà ! On m'a dit que Maelise aurait en deux enfants.

- (conseillé 2) Ils doivent être grands et doivent être de vrais guerriers.

- (conseillé 5) Non, messire ces deux là sont nés le même jours que nos jumelles.

- (conseillé 3) Au moins, celle qu'on leur confiera ne sera pas seul.

- (conseillé 5) Hélas! Ce n'est pas tout.

- (roi) Quoi encore?

- (conseillé 5) Ils ont été victimes d'un enlèvement.

- (conseillé 1) Malheur !

- (conseillé 2) Le sort s'acharne sur nous.

- (roi) Du calme, du calme.

- (conseillé 4) Laquelle des deux proposez-vous mon roi pour cette solution ?

- (conseillé 5) Moi, je vous propose "Clytemnestre", elle a l'air plus robuste que sa soeur "Calliope.

- (roi) Soit ! Le sort en a décidé. Ce sera donc "Clytemnestre" que l'on déposera devant la porte de ces gens.

- (conseillé 5) Messire, mon souverain, sa majesté, ôh noble roi des elfes?

- (roi) Oui, que veux-tu ? Ou quel dilemme y a t-il encore? Vas-y parle.

- (conseillé 5) Je je voulais juste, vous proposer de glisser une lettre explicative dans son panier.

- (conseillé 1) C'est débile.

- (conseillé 2) Tu veux qu'ils nous la ramène dès le lendemain?

- (conseillé 5) Non, non. Loin de cela.

- (conseillé 4) Alors explique toi.

- (roi) Expliquez vous donc mon noble ami.

- (conseillé 5) Eh ! Ben, l'autre soir en allant à la surface.

- (conseillé 3) Oui et alors?

- (conseillé 5) J'ai pu lire dans les étoiles qu'elle allait voyager et revenir par la suite dans la contrée.

- (roi) Je vous l'accorde car si les étoiles le disent.

- (conseillé 1) Sa majesté, vous n'allez pas croire ce vieux fou ?

- (roi) Mais si, mon seigneur. Sur ce je déclare le conseil terminé.

Ainsi fut-il, deux jours plus tard lors d’une nuit orageuse on déposa l’enfant à la porte de sa nouvelle famille et frappa à la porte. A l’intérieur tout s’agita, la porte s’ouvrit violemment. L’enfant endormi se réveilla en hurlant. Un homme fourche à la main suivit d’une jeune femme d’une grâce parfaite surgirent de derrière la porte.

- Regarde, Stéphane ! Un bébé, une petite fille, elle est trop mignonne. Qui peut bien l’avoir ainsi laissée ?

- On ne va pas tarder à le savoir.

- Et pourquoi ?

- Regarde, il y a un mot.

- Il est écrit que c’est une jeune elfe.

- C’est pas possible tu connais, comme moi, les légendes.

- Oui, les elfes ont été exterminés.

- Comment est-ce possible ?

- Je ne sais pas, mais il commence à faire froid et il pleut très fort.

- Oui, rentrons. Prends l’enfant.

Ils relurent la lettre et acceptèrent de prendre en charge la jeune elfe. Malgré les conseils et les recommandations du roi auprès de sa fille.

- Vous êtes fous !

- Comment ça fous ?

- Élever un elfe demande beaucoup de temps.

- Nous y arriverons, même s’il faut qu’elle se comporte par la suite, non comme une elfe, mais comme une humaine.

- Et comment allez vous faire, quand on commencera à voir ses traits elfiques ?

- Nous la couperons du monde extérieur s’il le faut.

- Soit faites comme bon vous semble, mais vous n’avez pas ma bénédiction pour cette enfant.

Clytemnestre fut ainsi élevée loin du monde qui l’entourait et considérée par ses grands-parents adoptifs comme une paria et bâtarde. Tout ça un peu dû au mariage de ses deux parents qui étaient chacun d’appartenance sociale différente. Maelise était la fille du roi et Stéphane fils de paysan. Il avait d’ailleurs hérité de la ferme de ses parents à leurs morts. Dernière chose Clytemnestre était rejetée par ses grands parents surtout parce qu’elle était d’origine elfique.

(suite)

Pendant les six premières années Maelise essaya de lui apprendre le B.A-BA qu’on enseignait à l’école : lire, écrire, compter, et lui rappelait que tout ce qu’elle lui apprenait étaient les bases de la communication. À la ferme elle fût aussi mise à contribution pour traire les vaches et les chèvres, changer la litière (de paille) de l’étable, mener les troupeaux dans les pâturages, nourrir les poules et les cochons etc. Tout ce passa ainsi jusqu’au jour où ils furent tout trois expulsés de la ferme familiale par les parents de Maelise. Un matin, un messager vint leurs apporter une lettre où il y avait d’inscrit :

« Nous ne pouvons plus assurer l’entretient de la ferme et vous la laisser sans recevoir de taxe en retour. Nous vous laissons le choix de payer les taxes ou de partir. Et emmenez donc cette chose qui est votre fille, si vous décidez de partir. »

Cette lettre les poussa à partir. C’est ainsi que Clytemnestre commença une vie en quelque sorte nouvelle, voyager de ville en ville. Elle eut ainsi ses premiers contacts avec le monde extérieur. Elle appris à rire et jouer avec les enfants rencontrés. Ses parents devaient changer de métier et s’adapter dans chaque ville. Quand à Clytemnestre, elle s’occupait aussi comme elle le pouvait et faisait quelques menus travaux à la portée de son âge : porteuse de messages (on lui écrivait sur du papier pour être sûr que le ou les messages soi(en)t bien compris par leurs destinataires), comme serveuse à la taverne (apporter les plats, les verres et les breuvages), mais celui qu’elle aimait le plus, lorsque l’été arrivait, était de laver le linge et les draps à la laverie. Elle pataugeait et s’éclaboussait dans l’eau.

À ses 10 ans, ses parents se demandèrent s’il ne valait pas mieux l’envoyer à l’école afin qu’elle apprenne certaines bonnes manières de la haute société et de quoi cultiver son intellect. En effet Clytemnestre était devenue une vraie friponne et développa quelques dons particuliers. Elle fut donc admise dans l'école des lois, d’apprentissage des manuscrits et de sortilèges d’Althéas, la célèbre école de Lipalbeck. Lipalbeck est une école où l’on enseigne aussi l’art d’être guerrier, archer. Ses portes seront closes dès la fin des études de Clytemnestre pour des raisons inconnues voire certaines rumeurs qui font allusion à certains phénomènes étranges. Clytemnestre étant inscrite pour l’année et devant passer les trois mois de l’été seule au sein de l’école parmi ses professeurs. Ceux-ci en profitèrent pour lui enseigner dès sa première année quelques-unes des matières proposées pour les classes supérieures. Ils essayèrent de lui inculquer à marcher droit et à obéir, mais rien n’y faisait du moins de ce qu’elle laissait paraître. En cours, elle était souvent à observer les chevaliers se battant entre eux ou bien à donner la leçon à certains de ses camarades plutôt qu’assise à écouter les professeurs baragouiner et lui bourrer la tête de telles ou telles choses, qu’elle considérait à l’époque idiotes et inintéressantes, ce qui lui coûtait d’être punie et blâmée assez souvent. Ses professeurs durent trouver une solution pour éviter de voir les autres élèves trop souvent à l’infirmerie. Ils lui proposèrent de suivre aussi l’enseignement des guerriers. Les professeurs évitaient de la regarder droit dans les yeux comme pour ses camarades. Elle eu la réponse ou du moins un début sur ce geste des professeurs le jour où elle dû quitter l’école après avoir été diplômée de tous les mérites. L’un des mages lui offrit des manuscrits d’incantations rares voir uniques et lui dit ceci :

- Nous ne pouvons te regarder en face car ton regard est bien trop mystérieux et profond pour que l’on puisse deviner tes pensées et tes intentions. Mais aussi il est la clef d’une partie de ton passé.

C’est ainsi qu’à l’âge de 16 ans ses parents vinrent la chercher et lui annoncèrent qu’ils partaient tous trois vivre dans la vallée d’Arakas tout particulièrement à LightHaven. Ils avaient l’air heureux, comme si là-bas quelque chose ou quelqu’un de cher les attendait.

Sur le chemin Clytemnestre évoqua avec ses parents ses six années passées à Lipalbeck. Elle leurs expliqua pourquoi elle avait eu droit aux plus grands honneurs à la remise des diplômes. Puis leur parla des moyens que ses professeurs avaient mis au point pour l’occuper durant les trois mois de vacances où les autres élèves retournaient dans leurs familles. Quand soudain ce qui devait arriver, arriva. Ils furent pris dans une embuscade de brigands, qui les suivaient depuis un certain temps et les observaient, attendant le moment propice pour surgir des fourrés. À cette époque les clans de hors-la-loi n’étaient pas sous la tutelle d’un seul et unique chef. Clytemnestre les vit s’en prendre à ses parents puis s’enfuir lâchement dans les bois, les laissant presque morts. On ne sait pourquoi, mais ce fût terrible et elle se demandait pour quelles raisons ils ne lui firent rien. Sa mère dans ses derniers souffles lui confia son médaillon qu’elle portait et lui fit comprendre que dessus s’y trouvait les armoiries de la famille. Ses dernières paroles furent :

- N’oublie pas, tu es une enfant de sangs-mêlés, tu as en toi autant de sang royal que de sang de paysan. C’est pour cela que tes grands-parents maternels t’ont rejetée. Tu as une sœur qu’on m’avait dite morte, dans la région d’Arakas. Mais tu as aussi un frère, je ne sais où il est, mais j’ai grand espoir qu’il soit en vie. Trouve ta sœur et ton frère ils doivent sûrement porter un médaillon identique avec les armoiries. Encore une chose sur tes origines, tu as certes été élevée comme les hommes mais tu dois savoir que ton peuple t’a menée à nous avec toute confiance, tu restes quand même notre fille...

Sur ce, elle ferma les yeux à jamais. Une meute de loup se fit entendre. On pouvait entendre leurs hurlements se rapprocher, l’odeur du sang frais les attirait. Clytemnestre prit vite les affaires et alla s’abriter en haut d’un arbre d'où elle assista au macabre sort des corps inertes de ses parents. Ce fut le jour le plus horrible, être victime de brigands et voir ses parents se faire déchiqueter ainsi. Quand tout fut fini, elle descendit de l’arbre et continua son chemin les larmes aux yeux, la rage au cœur.

Au bout de quelques mètres, elle se retrouva à nouveaux devant les brigands qui semblaient la chercher. Elle se cacha et les écouta parler.

- (brigand 1) C’est où qu’on a laissé la môme ?

- (brigand 2) Plus haut, je crois.

- (brigand 1) Tu es sûr ?

- (brigand 2) Sûr et certain.

- (brigand 1) Te fous pas de moi.

- (brigand 2) Sinon quoi ?

- (brigand 1) Sinon, tu vas goûter de ma lame.

- (brigand 3) Euh ! je veux pas m'en mêler.

- (brigand 1 et 2) Oui, quoi ?

- (brigand 3) Mais elle a du bouger depuis.

- (brigand 4) Pas tort sur ce point là.

- (brigand 3) Elle a dû rebrousser chemin en courant de trouille.

- (Chef brigand) Débrouillez-vous. Faut la récupérer, je lui réserve un bel avenir parmi nous.

- (brigand 4) Puis surtout qu’elle a l’air de tout juste sortir d’une période d’apprentissage.

- (brigand 3) Comment tu le sais ?

- (brigand 4) Fallait écouter de quoi elle parlait. Idiot !

- (chef brigand) Bon vous allez cesser de vous chamailler ?

- (brigand 3 et 4) Euh ! oui.

- (brigand 5) Noble et vénérable chef.

- (chef brigand) Oui que veux-tu?

- (brigand 5) Je voulais juste savoir ce que tu lui réservais.

- (chef brigand) Je vais, dans un premier temps la dompter. Si elle ne se laisse pas faire.

- (brigand 2) Et pourquoi ?

- (brigand 1) Tu crois qu’elle ne va pas se laisser faire ?

- (brigand 3) Tu n’auras sûrement pas grand mal à la dompter.

- (brigand 4) Pas sûre qu'elle soit docile.

- (brigand 5) Elle risque fort bien de se débattre.

- (chef brigand) Oui, peut-être. Mais s'il le faut j’emploierai des manières plus fortes.

- (brigand 2) Et par la suite ?

- (chef brigand) Je la ferai mienne, alors attention à vous.

- (brigand 3) C’est vrai qu’elle était mignonne celle-là.

- (brigand 5) Elle te donnera sûrement une belle descendance.

- (chef brigand) Chut !

- (brigand 1 / 2 / 3 / 4 et 5) Oui, quoi ?

- (chef brigand) Parlez moins fort.

- (brigand 1 / 2 / 3 / 4 et 5) Oki ! On se tait.

- (chef brigand) J’ai cru entendre une branche se casser et le froissement de feuilles.

Sur ce, elle fut débusquée de sa cachette et emmenée de force. Sur le chemin elle perdit connaissance après avoir bu un breuvage offert par le chef des brigands. Le breuvage contenait sûrement de quoi la faire dormir. Elle se réveilla dans une grotte, allongée dans une sorte de niche. Il y faisait froid et sombre. Elle sentit qu’elle était attachée par des chaînes au niveau des chevilles. Elle s’imagina ce qu’allaient devenir ses prochaines années ici, mariée à un homme qu’elle n’aimait pas, qu’elle n’aime et qu’elle n’aimera jamais, à élever ses enfants.

Sympa, tu as dû y passer du temps ! C'était pour quel jeu ?

Pour le jeu la 4éme prophétie et encore là ce n'est qu'une partie.

J'aurai bien mis le lien de publication de google docs mais en ce moment sa bug.

Là, je suis sur l'écriture de l'histoire d'une héroïne nommée "Maïa".
le début est déjà mis sur google docs.

(suite)
Pendant presque un ans elle vécus parmi les brigands. Ceux-ci ne la laissaient pas sortir sans être accompagnée. Ils l’avaient restreint aux tâches ménagères. Elle devait laver leurs linges pratiquement tout les jours car ces gredins pour leurs embuscades devaient le plus souvent ce terrer dans des trous de boues. Elle était sans cesse surveillé par deux gardes nommés par leurs chef. Rien que d’aller chercher de l’eau fraîche à la rivière, ne relevait d’un exploit. Il fallait négocier et jouer de ruse ceci prenait trente minutes, et en demandait quatre-vingt-dix. Son caractère s’endurcissait peu à peu. Finalement, le destin en voulut différemment. Au bout de quelques mois, leur chef qui en était encore au premier stade de ce qu’il réservai à Clytemnestre, mourut pendant l’une de leurs escapades. Une fois la nouvelle apprise chaque membre se disputait pour savoir qui prendrait en charge le clan. Clytemnestre en profita donc pour s’esquiver, car ses surveillants eux aussi se mirent à réclamer le droit à la succession. Elle ne fit rien à moitié. Elle emporta quelques pièces d'or et autre biens choisis de leur butin :

1 robe de grand prêtre

1 robe d’archimagie

1 robe de feu

1 habit de feuille

1 robe de protection de l’immortel

1 robe d’âmes purifier

1 cape de renouveau

1 cape de résistance au feu

1 cape d’élémendil

1 bouclier de mithril

1 épée de la nuit …etc.

Et récupéra de quoi manger, ses affaires personnel en vérifiant que ses manuscrit soient toujours là.

Sur le chemin elle croisa une jeune fille, allongée presque morte. Plus tard, elle sut qu’elle s’appelait Dolphina et apprit l’histoire de cette jeune fille. Dolphina est en fait la fille de ses parents adoptifs.

Dolphina était détesté par son père adoptif qui aurait aimé avoir un garçon au lieu d’une fille. Pendant ses cinq premières années il n’eu rien d’exceptionnel, vivant loin du village. Elle n’a jamais rencontré d’enfant, et de toute façon, les parents de ceux-ci n’auraient jamais accepté que leurs enfants viennent jouer avec elle car sa famille était reniée par les personnes du village. Ses parents faisaient partie des personnes pour qui la mort, la haine étaient un jeu, seule la mort les rendaient heureux, leur offrait du plaisir. Elle se considérait comme une fille qui avait été engendré par le mal et une fille du mal. C’est à l’âge de 6 ans que son père commença à lui apprendre à se battre. C’était un homme dur et autoritaire. Il n’avait pas eu de garçon mais il avait décidé de faire d’elle le garçon qu’il n’avait jamais eut et qu’il n’aurait jamais car à la suite d’une bataille sa mère mourut. Elle était devenue son « souffre-douleur » et passait ses nerfs sur elle. Il n’était point rare qu’elle se fasse frappée et il n'arrêtait que quand il était à bout de force, puis l’enfermait dans un placard. Bien sûr, il lui était interdit de pleurer voire même de gémir. Dix ans ont passés ainsi, puis un soir ne pouvant plus supporter cette détresse qu’elle avait à l’intérieur, Elle s’enfuie. Elle prit quelques vêtements et partit vers cet horizon qui lui était complètement inconnu. Pendant plusieurs jours, elle marcha et ne s’arrêtait seulement que pour dormir ne voulant pas perdre de temps, partir le plus vite possible de ce pays, s’éloigner de ce père qui n’avait aucune affection pour elle. Tiraillé par la faim, elle commença à piller, et voler. C’était tellement facile qu’elle commença à y prendre du plaisir. Elle se fit des amis pilleurs. Puis ces jeux qui étaient anodin au début devinrent plus sérieux car elle commença à tuer avec ses amis. Ils firent un concours pour savoir, d'entre tous, tuerait le plus de personne. Dans ce pays, elle était très redoutée et au seul fait de prononcer son nom les gens tremblaient de peur. Elle ! L’enfant qui avait été engendré par le mal était devenu le mal incarné. Elle était rentrée dans un cercle vicieux : le mal engendre le mal et le bien engendre le bien. Et ce n’est pas elle à cette époque qui aurait dit le contraire. Son père aurait été fier d’elle ! Connaissant tous de ce pays, elle partit vers d’autre horizon pour qu’on connaisse sa force partout au-delà des mers et des montagnes. Elle n’avait peur de rien, pour elle tout lui était accessible. Mais un jour, elle se frotta à plus fort qu’elle et la laissèrent quasi morte au bout d’un chemin. Elle ne pouvait plus bouger et de nombreuses personnes passèrent à côté d’elle, mais personne ne l’aida. On lui jeta des pierres et on lui cracha dessus mais aucune aide. Puis ce fut le trou noir, elle perdit connaissance.

Clytemnestre décida de la porter du mieux qu’elle pouvait. Un homme qui passait par là, voyant Clytemnestre en difficulté se proposa de l’aider à la porter jusqu’à sa demeure. Le long du chemin, elle lui expliqua comment elle avait trouvé Dolphina gisant au bord du chemin inconsciente. Sa maison était isolée dans les bois. Il se présenta à son tour sous le nom de Dumbbell. Un homme aux cheveux brun avec des yeux magnifique et au regard angélique. C’était un homme avec lequel on se sentait de suite en confiance. Il y avait une telle force qui émanait de lui. Toujours à l’écoute des gens. Clytemnestre ne pus rester longtemps malgré les demandes incessantes de Dumbbell qui la priait de rester et qu’il lui offrait le gîte.

Dumbbell : Restez ici mademoiselle

Clytemnestre : Non, je ne peux rester

Dumbbell : Je vous offre le gîte le temps que vous voudrez

Clytemnestre : Je suis désolée de devoir refuser votre offre pour le moment. J’ai encore une longue route à faire. Je vous promets de revenir vous voir.

Clytemnestre partit lui promettant de prendre des nouvelles de Dolphina. Elle continua son voyage jusqu’à LightHaven. Sur le chemin elle croisait des guerriers et des paysans. Elle leurs demandait son chemin.

Paysan 1 : Oui, vous êtes sur la bonne voix

Paysan 2 : Votre quêtes touche à sa fin.

Paysan 3 : Vous ne pouvez pas vous tromper

Paysan 4 : Vous approchez de votre but

Paysan 5 : Il y a un pont toujours peuplé de quelques gobelins qui marque l’entrée du village.

Arrivée à ce fameux "pont des gobelins", Clytemnestre constata en effet qu’une bonne trentaine de petits bons hommes y vivaient. Ils ressemblaient à des petits diablotins rouges leur fourche à la main. Puis elle vit une troupe de valeureux guerriers, d’archers, de mage et de nécromanciens prêts à combattre. A ce moment précis rien ne prévoyait qu’elle les rejoindrait plus tard et qu’elle y retrouverait Dolphina. Chargée de ses sacs pleins d’affaires, elle passa ce fameux pont. Elle était en pleine extase devant cette troupe, qu’elle bouscula de l’autre côté un jeune mage nommé Flam. Apparemment il l’avait suivit ses affaires de pêches en main. Il y eu comme un flash quand ces deux là se regardèrent dans les yeux. Les membres de la troupe se mirent à rire de la réaction de Flam qui apparemment intimidé s’empressa de l’aider à réunir ses affaires et s’excusant d’avoir commis l’erreur de ne pas avoir regardé devant lui et donc de l’avoir bousculé(e).

Flam : Veveveveuillez m’excusez. Je je je je suis confus.

Clytemnestre : Ne soyez point confus messire.

Flam : Nononon non, c'est c'est c'est c'est de ma faute.

Clytemnestre : Mais non, c’est de la mienne.

Flam : j'injinjin j'insiste dans ma démarche.

Clytemnestre : Mais non, vous allez me faire devenir toute chose.

Flam : Ne ne ne ne soyez pas toute chose.

Clytemnestre : Vous m'envoyez flatter.

Flam : Mamamamademoiselle, je je je je m'excuse de de de de vous avoir bousculée.

Clytemnestre : Puisque vous insister. J'accepte.

Flam : Puis je je je je savoir vovovovotre nom?

Clytemnestre : Clytemnestre. Et vous, messire?

Flam : Flaflafla Flam poupoupou pour vous servir.

Clytemnestre : Ne soyez point modeste.

A 17ans, elle arrivait enfin à destination. Quelques mètres après le pont, pour marquer l’entrée se trouvait la fameuse crypte du pilleur. Une légende dit que celui-ci hante ces lieux et que les plus valeureux qui le défiaient pouvaient recevoir une robe blanche. N’ayant point de maison où aller, elle s’installa à l’auberge. Lieu très fréquenté et prisé dès qu’il y a fête en ville. Ce jours-là, les chambres étaient en majorité occupées à cause de la venue du grand scribe Lussssionnnnnnnn. Elle fut logée dans une petite chambre de bonne. Elle en profita aussi pour demander à l’aubergiste où elle pourrait trouver du travail. Il lui proposa de travailler comme serveuse dans la grande salle de restauration. Elle quitta sa petite chambre à l’âge de 19 ans pour s’installer chez Flam. S’étant croisés à multiples reprises dans les rues de Lighthaven et ayant fait plus ample connaissance durant ces rencontres, il lui demanda donc au cour de l’une d’elle de devenir sa fiancée, ce qu'elle accepta bien sûr. Elle continua à travailler comme serveuse, jusqu’au jour ou certains des clients un peu trop éméchés l’abordèrent d’un peu trop près. Elle se défendit et les rembarra. Il y eut combat, la salle fut presque réduite à néant, ce qui lui valut d’être renvoyée.

Un homme assis à une table isolée, ayant assisté à cette scène s’approcha d’elle avec prudence. Il craignait lui aussi être victime de la jeune fille. Pensant qu’il voulait défendre les trois ou quatre gars qu’elle venait de mettre à terre, elle se prépara à rétorquer. C’est ainsi qu’elle fut repérée par Sorcerak, chef du clan des Défenseurs de la Lame et serviteur du roi Théodore II. Il lui pria de se calmer, qu’il ne lui voulait aucun mal, il voulait juste parler avec elle. Clytemnestre se calma. Au moment de lui demander si elle voulait bien faire partie de son clan, Flam fit son entrée dans l’auberge.

Flam : Que faites-vous là ?

Clytemnestre et sorcerak : Flam que viens tu faire ici ?

Flam : On m’a dit que je vous trouverais ici Messire Sorcerak.

Sorcerak : En effet, j’ai pour habitude de venir boire un verre à la taverne. Mais depuis ma rencontre avec Johanna, je n’y ai point remis les pieds.

Flam s’approcha de Clytemnestre en empoignant au passage Sorcerak pour lui dire bonjour. Puis il la serra dans ses bras et lui fit un baiser sur le front. Clytemnestre rougit.

Sorcerak : Flam ?

Flam : Oui, messire ?

Sorcerak : J’ai comme l’impression que tu connais cette jeune fille.

Flam : Oui, en effet. Je l’ai rencontré il y a environ deux ans au pont des gobelins, je l’avais bousculé sans le faire exprès. Nous nous sommes revus dans les rues et depuis peu je lui ai demandé de venir vivre chez moi, mais je ne savais pas qu’elle était ici à l’auberge.

Sorcerak : J’ai l’impression qu’il y a plus que de l’amitié entre vous deux. Est-ce vrai ?

Flam : Oui, on ne peut rien te cacher. Je lui ai demandé si elle voulait être ma fiancée.

Sorcerak : Donc tu aurais rencontré une jeune fille et vous comptiez vous marier sans même me la présenter et la présenter aux autres membres.

A ces mots, les regards se tournèrent vers Clytemnestre, qui remettait un peu d’ordre dans ses affaires. Elle se recoiffa un peu. Gloussant de peur que la situation s’empire. Elle répondit à Flam.

Clytemnestre : Qu’est ce que je fais ici ? J’y travaillais jusqu’à aujoursd’hui. Ces brutes m’ont fait perdre mon travaille. Et ton ami a bien risqué de finir comme eux. Il me proposait de rejoindre son groupe et je ne sais que répondre.

Sorcerak : Flam regarde autour de toi. A elle seule, elle a dégommé 3 à 4 hommes. Elle a ce petit quelque chose qui pourrait nous être utile. J’aimerais bien savoir où elle a appris à ce battre.

Flam : Je sais bien qu’elle est spéciale, mais au point de dire qu’elle a mis lce souk à elle seule, là ça m’étonne beaucoup.

Sorcerak : Comment s’appelle ta belle et jeune amie ?

Flam : Elle s’appelle …………..

Clytemnestre : Je peux répondre, j’ai une langue, je ne suis pas muette que je sache ……

Sorcerak : Elle a aussi de la répartie à ce que je vois. Alors qu’elle est ton nom ?

Clytemnestre : Clytemnestre, je viens de la contrée d'handornev. Ancienne élève de l’école de Lipalbeck. Et je serrais ravie de rejoindre votre groupe.

A la prononciation du nom de Lipalbeck, on pouvait voir dans leurs regards une crainte. En effet depuis sa fermeture, la rumeur qu’un des diplômes de l’école eut reçu tous les honneurs et détenait des dons et pouvoirs inimaginables, fit frissonner.

Sorcerak : Qu’il en soit ainsi, nous irons présenter ta fiancée au groupe et les mettrons au courant de vos futurs projets.

Ce fut la fin de la discussion Flam et Clytemnestre sortir de l’auberge. Sorcerak en ressortit quelques petites minutes après, en effet, il avait du régler la note des dégâts occasionnés dans l’auberge.

Au cours des mois qui suivirent Clytemnestre fit la connaissance de la plupart des membres du clan. Elle sympathisa avec un jeune homme mi-nain mi-homme, plus homme que nain. Ce jeune homme ce nommait Lord Raben, il était originaire d’une ville qui a complètement été rasé par des brigands et qui était maintenant en ruine. Il lui raconta son histoire et comment il avait fait pour venir jusqu’ici.

Sa famille disparut entièrement lors de l’attaque des brigands. Ses parents étaient des nobles et son existence aurait du être normalement paisible et facile. C’est le jour de ses 16 ans que le drame se passa. Mais cela faisait déjà longtemps que les brigands les menaçaient sans qu’ils ne puissent rien faire. Sa ville ne comptait parmi elle aucun guerriers pour la défendre et fut rapidement anéantie. C’est par miracle qu’il fut sauvé en se dissimulant derrière une porte dérobée qui menait à la cave. Il attendit là dans l’obscurité tremblant de peur qu’on le découvre pendant deux semaines et trois jours, que les brigands partent après avoir tout saccagé et pillé. Il a longtemps hésité sur ce qu’il devait faire. Son père lui avait une fois raconté une histoire sur l’existence d’un autre monde. Dans ce monde, il y avait la ville de Lighthaven. Une grande ville qui abritait même un temple dédié au dieu Artheck, dieu de la lumière et des âmes pures. Ne voyant pas d’autres alternatives que de faire confiance à cette légende, il partit après avoir enterré ses proches et déniché quelques maigres provisions :

- 72 pièces d’or

- 1 couteau rouillé

- 1 pomme

- 2 potions de guérisons

- 2 torches

D’après le mythe, la jonction entre les deux mondes parallèles était un labyrinthe. En dehors de la ville, il était obligé de courir tout le temps car il était poursuivi par d’affreuses créatures de toutes sortes (abeilles géantes, serpents venimeux, rats mutants). C’est au bout de six heures d'une course effrénée qu’il découvrit sur le flan d’une montagne, une entrée cachée dans la pierre. Il prit sa potion de soins et se jeta dans l’entrée béante alors que dix monstres fonçaient droit sur lui. Il ne savait pas du tout où il était. C’est seulement au bout de deux heures qu’il se rendit compte qu’il était dans ce fameux labyrinthe ! Cela lui redonna espoir et confiance. Son élan d’enthousiasme fut de courte durée. En effet, sortir de ce piège de murs n’allait pas être simple et de plus celui-ci grouillait de nouveaux monstres qui lui étaient tout à fait inconnus. Il décida de chercher méthodiquement la sortie en évitant les monstres qui étaient pour ainsi dire d'une relative lenteurs, Toute la nuit il chercha la sortie de ce maudit labyrinthe en tombant toujours sur les mêmes culs de sac et devant les mêmes monstres affamés. Il avait utilisé toutes ses potions et sa dernière torche allait s’éteindre d’un moment à l’autre, quand en début de matinée il découvrit la sortie. Il s'extirpa de ce trou à monstres et s’endormit d’épuisement en se disant que ce monde devait être nettoyé de tous monstres. Il fut sorti de son sommeil par des cris inquiétants. Il se leva précipitamment et vit un troupeau de monstres rouges, armés de fourches, les yeux jaunes et des oreilles pointues. Il voulu rejoindre le labyrinthe mais de l’autre côté aussi les monstres l’attendaient. Tout était fini ! Il allait mourir ! Rejoindre ses ancêtres et sa famille dans l’au-delà. Et il avait le choix de mourir dans le labyrinthe ou bien en pleine air. Résigné et terrorisé, il décida de rien faire et de rester devant eux. Les yeux fermés il sentait en lui l'angoisse et son cœur battre à cent à l’heure de peur. Le lendemain matin, il était à Lighthaven, grande ville d’Althéa. Il se trouvait dans une chambre confortable, entouré de gens rassurants, souriants et réconfortants. Il mis quelques minutes à se rappeler les événements et à les remettre dans l’ordre :

- 1 : Le grand départ vers un monde meilleur

- 2 : La course folle vers un labyrinthe mythique et inconnu

- 3 : La longue errance dans le labyrinthe

- 4 : Le retour à l’air libre

- 5 : La résignation face aux affreux monstres rouges (les gobelins)

Il s’empressa de demander ce qui c’était passé. " Deux nobles chevaliers qui s’entraînaient au combat contre les gobelins l’ont sauvé in extrémiste. Ils avaient aperçu de loin un groupe de ces monstres. Ils s’étaient approché prudemment et l’avaient vu inconscient et gravement blessé au milieu du troupeau de gobelins. Tous deux attaquèrent courageusement et les massacrèrent. Il n’était pas encore tiré d’affaire car il perdait beaucoup de sang . Sa vie fut donc une nouvelle fois sauvée par les talents magiques de Gremih le mage. Ils le conduirent ensuite à Lighthaven et il n’entendit malheureusement presque plus parler d’eux." Une fois complètement remis d’aplomb, il dut partir de la maison où il fut si généreusement abrité un mois durant. Dehors, il ne su quoi faire et errât dans les rues. Il tua pas mal de rats pour nettoyer les sous-sols de la ville et aida un vieux mage à trouver des ailes de chauve-souris putrides pour une de ses potions, gagné un peu d’argent dans les coffres pour pouvoir vivre. Mais il se sentait seul et la compagnie lui manquait. De ce fait, il repensait à sa famille trop tôt disparue et ses amis massacrés. Après un mois d’errance et de tristesse dans la ville, il décida de retourner sur ses terres natales pour y vivre seul en ermite le reste de ses jours, mais proche des ancêtres. Mais en route pour son dernier exil, son regard se tourna discrètement sur une affiche.

Il hésita un bon bout de temps. Si il retournait chez lui, il n’avait presque aucune chance de survivre avant d’y arriver. Et une fois là-bas, il n’avait même pas de provisions. Il se décida donc à rencontrer ce fameux Sorcerak paladin. Il était inscrit sur l’affiche qu’on le rencontrerait facilement au temple. Il s’y rendit donc et l’aperçut directement. Sorcerak était à genoux plongé dans ses prières avec passion. Raben l’interpella lorsqu’il eut terminé et lui demanda s’il voulait bien l’accueillir au sein de sa troupe malgré son manque d’expérience. Celui-ci accepta avec joie et l’inscrit aussitôt sur la liste de ses membres. Il lui montra également une chambre où tous les membres pouvaient dormir et manger. C’était très bien organisé. Il y avait aussi une chambre pour les quelques gentes dames engagée

Peut de temps après Clytemnestre fut surprise de voir la jeune fille qu’elle avait laissé chez Dumbbell. Dolphina raconta à clytemnestre autour d’un feu de camps, ce qui c’était passé après son départ de chez Dumbbell. Elle lui expliqua, qu’au début, il ne lui adressait pas un mot et la laissait raconter son histoire, ça l’avait libéré du poids accumulé, il était devenu comme un frère d’adoption. Il lui fit découvrir l’autre conscience que toute personne possède au fond d’elle-même, celle du bien avec tout ce qui l’accompagne tel la beauté d’un soleil qui se lève, l’amitié, l’amour …etc.… Qui lui était jusqu’alors inconnu. Une phrase dite par Dolphina resta gravée dans la mémoire de Clytemnestre. « Quand on fait partie du mal, on ne perçoit pas les choses de la même façon ». Dolphina découvrit le clan des « loups perdus » dans lequel, elle vécu deux belles années. Elle était amoureuse d’un homme qui a su toucher son cœur avec tellement de sensibilité et de tendresse. Enfin, elle découvrait l’amour, cette chose qu’on lui contait. Elle en avait les yeux émerveillés mais il lui était jusqu’alors inconnu. Ils vécurent leurs amour pleinement mais malheureusement en secret car leurs vies étant pour un comme pour l’autre très compliquées, comme si un sort leur avait été jeté pour l’empêcher de vivre heureux comme tout couple. Ils décidèrent de passer outre cette malédiction et de s’aimer, de profiter de ce sentiment qui les habitait l’un comme l’autre et qui les faisait vivre chaque jour intensément comme si c’était le dernier. Mais un jour Reinart (l’homme qu’elle aimait) fut définitivement mort après une bataille durant laquelle, on lui enleva sa pierre de destinée (celle qui ramène automatiquement les âmes au temple, après s’être fait tuer). Ne pouvant plus supporter la douleur qui lui était infligée depuis sa mort, que même Dumbbell n’arrivait pas à effacer, elle partit de ses terres, qui lui rappelait à chaque pas qu’elle faisait, son image, sa douceur, ses bras si protecteur. Elle se construisit une barque et pris le large comme autrefois vers l’horizon, mais pas pour la même raison. Là, elle partait pour oublier, pour ne plus que son cœur saigne, pour ne plus souffrir. Elle partit environ un an durant lequel, elle découvrit de merveilleux paysages, des peuples divers lui apprenant de multiples choses. Mais la solitude de la perte de cet être cher la hantai toujours. C’est au cours d’un voyage sur l’une des îles qu’elle apprit la destruction de harn et par la même occasion la mort de plusieurs personnes qui étaient présentes ce jour-là. Sa peine en fut d’autant plus grande. Elle resta plusieurs semaines, complètement amorphe, sur le sable face à la nouvelle qu’elle venait d’apprendre. Tout lui était incertain et elle doutait de tout. Quand un soir au cours d’un songe elle vit Reinart qui lui demandait de vivre et qu’elle n’avait pas le droit de rester ainsi alors qu'elle avait la chance d’être en vie. Il lui fit promettre de profiter de la vie ainsi que de toutes les merveilles qui s’offraient devant ses yeux. Il lui demanda de reprendre sa route vers les terres d’Arakas, car là-bas, elle rencontrerait quelqu’un qui lui permettrait de voir plus clair en elle. Elle se releva donc et décida de reprendre des forces avant de reprendre la route vers ces terres si merveilleuses à ses yeux. Le voyage fut long et pénible mais l’espoir vivait en elle et lui donnait du courage pour continuer, mais surtout, Reinart veillait sur chacun de ses pas au-delà de la mort. Elle arrive sur ces terres par une belle nuit étoilée. Elle espérait au fond d’elle revoir les gens qu’elle avait quittés il y a de cela un an. Malgré tout elle passa plusieurs semaines seules ne connaissant pas les nouveaux arrivants sur ce monde. Puis un soir, après avoir pris des renseignements sur les différents clans qui existaient sur Arakas, elle demanda auprès de Sorcerak, s’il recrutait :

Dolphina : Excusez-moi messire, je voudrai savoir si vous recrutez toujours.

Sorcerak : Oui, je recrute encore.

Après un jour de réflexion, elle décida de rentrer dans le clan des « Défenseurs de la Lame ». Enfin elle allait pouvoir reconstruire une vie, oublier cette solitude qui la hantait chaque soir, se reconstruire une famille.

Clytemnestre et Dolphina restèrent unies. Dans chaque endroit où l’une allait la deuxième suivait de près.

Une guerre terrible éclata. Le clan y fit engagé sur la fin. La bataille fut rude mais fut remporter à l’aide du clan. Le soir même la victoire fut fêtée auprès d’un grand feu de camps. Un jour que Clytemnestre défendait comme à son habitude les paysans contre les montres un jeune guerrier passant par-là et demandant son chemin. Il l’aidât à vaincre les monstres. Elle le regarda avec mystère car apparemment sa fessait peu qu’il avait rejoint le clan. Car sur les tuniques récentes l’emblème « DL » y était intégré. Mais on ne gardait généralement que deux ou trois mois cette tunique. Sept jour après elle revit Dolphina qui lui expliqua que Sorcerak lui avait demandé de prendre sous son aile un jeune guerrier. En effet profitant d’un moment où ce fameux jeune guerrier était apparemment en pleine quête pour lui faire part. Elle lui dit que celui-ci s’appelait « Elblaï » et qu’elle ne savait à quoi il ressemblait. Un soir Dolphina fit par à Clytemnestre que Elblaï les conviait à un feu de joie toute deux. Ce soir là il fessait nuit noir on pouvait voir luire les étoiles dans le ciel. Elblaï attendait ses deux invitées prés du feu remettant de temps à autre des bûches. Dolphina arriva au lieu de rendez vous sens encombre. Quand à Clytemnestre elle fut victime de quelques hordes de gobelins butter. Ils lui tombèrent tous dessus mais elle les tailla en pièce en cumulant ses sorts de feu et son côté guerrière. Arrivant à l’endroit du rendez vous, elle s’épousseta devant eux. Ils la regardèrent tout étonné de la voir dans un tel état.

Dolphina : Que t’arrive tu clyte ?

Clytemnestre : Rien du tout. J'ai juste été traîner dans la terre et prendre un peu trop de poussière.

Dolphina : C'est sa tu crois que je vais accepter te réponse?

Clytemnestre : Oui, pourquoi, la refuserai tu?

Dolphina : Toi te traîner dans la terre comme sa c'est trop louche.

Clytemnestre : Ah! bon!

Dolphina / Elblaï : Que veux tu nous cacher?

Clytemnestre : Rien, rien. Ah! Si quelques gobelins qui passaient dans le coin.

Dolphina : Vas-y balance y a pas que sa.

Clytemnestre : Bon d'accord. Ils m'attendaient dans une de leurs fameuses embuscade.

Dolphina : Tu ment encore!

Clytemnestre : Je te l'assure. Ils sont vraiment trop buttés ces gobelins.

Dolphina : Me prend pas pour une enfant.

Clytemnestre : mais si je te l'assure. Y avait même l'un de leurs généraux.

Dolphina : Franchement là, tu me dégoûte.

Clytemnestre : Comment sa?

Dolphina : J'ai jamais de chance sa tombe toujours sur toi ce genre de chose.

Clytemnestre : C’est parfois énervant mais sa maintient en forme.

Dolphina : Sérieux? Ils doivent t'adorer pour te faire autant d'embuscades.

Clytemnestre : Dit de suite qu'ils me vénèrent comme un dieu.

Dolphina : Lol. Non quand même pas.

Clytemnestre : Lol. Sa oui, ils adorent me voir les dégommés un à un. Puis leurs confrère les orcs sont tout aussi sympathiques.

Elblaï : Lol. Des vrai bout entrains. Je les imagine tournant autour d'une statue à ton effigie.

Clytemnestre : Lol. Là c'est un peu trop poussé.

Elblaï : Et oui. Mais tu crois qu'ils ont encore des ressources.

Clytemnestre : T'inquiète pas. Ils en trouvent toujours des nouvelles. Puis j'aime bien quand ils cherchent de nouvelles idées pour m'attaquer. Bon revenons à notre affaire.

Dolphina : Je te présente Elblaï

Clytemnestre : Enchantée, moi c’est Clytemnestre, ne faite pas attention à ma tenue messire. Je ne vous aurais pas déjà vu ?

Elblaï : Enchantée aussi.

Clytemnestre : Je ne vous aurai pas déjà vu ou rencontré ?

Elblaï : Si vous étiez entrain de défendre des paysans contre des orcs. Je vous ai d'ailleurs aidé et m’avez regardé d’une drôle de façon.

Dolphina : Clyte toujours entrain de défendre la veuf et l'orphelin.

Clytemnestre : C’était donc vous le jeune homme qui m’a aidé. Je ne vous ai pas remercié ce jour là, je vous en remercie aujoursd’hui.

Elblaï : Je me demandait juste comment une femme comme vous pouvait battre vingt orcs sens être épuisée et surtout j’admire vos connaissance dans l’art de la magie.

Clytemnestre : J’ai eu mes connaissances de la magie au sein d’une bonne école avec des professeurs patients et plein de bonne ressource.

Dolphina : Patients sûr avec ce que tu as pu m’en raconter de tes exploits là-bas.

Elblaï : Hum mm Hum mm ! Je vous propose de nous asseoir. J’ai certaines questions et révélations à vous faire par.

Ils s’assirent tout trois au milieu des pierres runique. Ils discutèrent pendant un long moment sur les médaillons d’Elblaï et de Clytemnestre. Elblaï expliqua que personne ne pouvait lui ôter et que c’était du médaillon qu’il tenait cette force qui le maintenait en vie. Clytemnestre Expliqua ce qu’étaient leurs parents et ce qui leurs étaient arrivés. Ainsi ils prirent conscience de leurs liens de parenté. Ils décidèrent de ce choisir des surnoms :

Dolphina : Je vous suggère : Grande Louve / Petit Loup / ET Louve. Bien sure, celui de Louve ne marchera que si on est tout les trois réunis.

Elblaï : je suggère que quand vous êtes toutes les deux ensemble ce soit Clyte qui soit appeler Grande Louve.

Dolphina et Clytemnestre : Nous ne sommes pas contre.

Sur ce ils reprirent le chemin en direction de Windholwn, car entre temps Flam et Clytemnestre avaient acheté une maison dans cette ville.

Passé les deux ponts Nord nommé l’île aux dragons, ils se demandèrent par où aller, à gauche vers le camp des gobelins ou à droite vers l’Ermite. Clytemnestre voulant donner l’occasion à Dolphina de se défouler suggéra à gauche. Elblaï obtempéra. Ils n’eurent même pas le temps d’atteindre le camp que les éclaireurs se jetèrent sur eux et leurs demandaient que Clytemnestre vienne avec eux pour mettre au clair le vol de fioles de sang gobelin. Clytemnestre ayant été à une quête consistant à récupérer divers objets dont des fioles de sang de gobelin. Ceux-ci cherchant mainte compromis et raisons pour déclencher une guerre et éliminer un à un le clan des « Défenseurs de la Lame ». Les défenseurs de la lame ayant acquérir une réputation glorieuse auprès des villageois et paysans d’Althéas c’était fait beaucoup d’ennemis au sein de créatures tel les gobelins et les orcs. Clytemnestre et Dolphina possédant toutes deux un caractère de sauvage voir brute quand on les défiait, se précipitèrent sur leurs assaillants ne leurs laissant aucune chance de fuite. Une fois les hostilités finit elles se permirent de piller les gobelins pour récolter quelques pièces d’or. Que fut leurs surprise de récupérer des armures et des armes, elles pensaient à l’argent que ce butin leurs rapporterai.

Flam fit son apparition, il se battait avec vigueur. Dolphina, Elblaï et Clytemnestre s’interpellèrent tout trois par le code secret.

Dolphina : Grande louve regarde qui voilà par le sud ?

Clytemnestre : Louve c’est gentil à toi de me prévenir.

Dolphina : Et pourquoi donc ?

Clytemnestre : Tu sais comme moi que Flam est un grand guerrier et qu’il manie bien les armes.

Dolphina : Oui et alors ?

Clytemnestre : En t’en que fiancée, je ne voudrai point avoir à prendre pour cible l’un de ses gobelins sans sa permission.

Dolphina : Vous formez un très bon couple.

Flam : Salut mon ange. Salut Dolphina. Salut Messire Elblaï.

Dolphina : Bien le bonjour à vous messire Flam. A ce que je puis constater votre fiancée rougie un peu.

Clytemnestre : Louve ne charrie pas. C’est normal la timidité règne dans notre couple.

Flam : En y pensant mon ange puis-je te poser une question qui pourrai bien changer notre statu.

Clytemnestre : Je te fais confiance. Vas-y demande toujours, j’ai peut-être ou peut-être pas l’information que tu recherche.

Flam : Monmonmonmon ange. Vouvouvouvoudrai tu dedededevenir mamamama femme ?

Elblaï : Flam, tu n’est pas gêné de lui demander ça pendant qu’on ce bat ?

Flam : Non, puis il fallait que je lui fasse ma déclaration.

Elblaï : En tout cas messire, ne cherchez point une réponse négative.

Flam : Pourquoi donc ?

Elblaï : Elle est tel ment tout chose, qu’elle en a oubliée les gobelins qui essayent de la ramener à leurs grand chef.

Flam : Merci ! Elblaï, de me faire remarquer que sa réponse est « oui » et je vais de ce pas la délivrer…..

Pour cause de maintes guerres et la menace de la disparition d’Arakas, leurs mariage fût repoussé. Finalement ils se marièrent, tout le monde festoyaient, riraient, ce fût une très belle fête. Quelques jours plu tard nos deux tourtereaux main dans la main patrouillaient sans aucun encombre à la recherche de quelques gobelins, orcs et autre bestioles vivant sur Arakas. Quand! Ils tombèrent nez à nez avec les brigands et leur chef Adel. Ils coururent pour ne pas se faire prendre. Un précipice arrêta net leur échappée. Ces chenapans leurs bloquèrent très vite toute issu possibles. Au fond du gouffre coulait une rivière. On entendit un craquement, Clytemnestre vit Flam tomber. Quelques secondes après un second craquement retentit puis le sol se déroba sous les pieds de Clytemnestre. Elle tomba ainsi de corniche en corniche et arrive au final à côté de la rivière et perdis connaissance. Quant à Flam sa chute voulu qu'il tombe dans la rivière et que le courant l'entraîne loin.

A son réveil, un mois après (cependant lequel fut très agité), elle était dans un lit bien chaud. Quelle fût sa surprise en constatant qu'elle était chez les brigands! En effet ayant vu qu'elle avait atterri près de la rivière, ils l'avaient remontée et emmené à leur repère. Un genre de petit village terré au bon milieu d'une montagne. Pour en sortir, il fallait empreinter une grotte dans lequel ce trouvait un labyrinthe. Elle garda le lit un mois jusqu'à ce qu'elle aye suffisamment de force pour bouger et sortir. Adel lui avoua au cour de son séjour qu'il était follement tombé raid dingue. Mais qu'il ne pouvait l'obliger à être sa femme t'en qu'on ne savait ce qu'était devenu Flam. Une fois sur pied il la raccompagna à proximité de Lighthaven.

Une fois arrivée en ville, elle fut prise d'un malaise. L'un des membres du clan qui passait par-là la vit et la ramena à la bâtisse du groupe. Tous étaient inquiets. Un guérisseur fût appelé, il lui annonça qu'elle attendait un heureux événement. Une fois le médecin parti, Sorcerak s'approcha et lui demanda:

Sorcerak : Mais où est Flam? Vous étiez ensemble que je sache. Et ça va faire deux mois qu’on n’a pas eu de vos nouvelles....

Clytemnestre : Je ne sais où il est. Tout ce que je me souvienne c'est de l'avoir vu tomber dans le ravin qui nous empêchait d'avancer plus loin.

Sorcerak : Comment ça plus loin? Explique-moi tout.

Clytemnestre : Nous avons été poursuivis par les brigands. Nous avons été stopés par un précipice. Donc nous avions d'un côté le vide avec au fond une rivière et de l'autre les brigands près à nous piller.

Sorcerak : c'est une histoire de fou. Je me demande pourquoi ils s'en sont pris à vous deux. Continue donc ton récit.

Clytemnestre : Voilà! Le sol c'est dérobé sous les pieds de Flam après qu'il est chuté ce fit mon tour de tomber.

Sorcerak : Mais que c'est il passé aprés.

Clytemnestre : Je sais pas trop.

Sorcerak : Comment ça?

Clytemnestre : Apparemment ce sont les brigands qui m'auraient récupérée et soignée. J'ai été inconsciente pendant un mois. Et le deuxième mois, j'ai récupéré comme je pouvait mes forces ...etc...

Sorcerak : C'est brigands quand même. Vu leurs attitude de départ, je t'aurais laissé là. Et pour Flam?

Clytemnestre : Je craind fort qu'il soit tombé dans la riviére.

Sorcerak : Si tel est le cas, il ne doit pût être de ce monde, mais être passé dans celui du trépas.

Clytemnestre : Ne dit pas ça, c'est horrible.

Sorcerak : A moins qu'il s'en soit sorti en contre-bas.

Clytemnestre : J'aimerai mieux ça.

Sorcerak : Oui, Mais ne sachant pas ce qu'il est devenu, tu vas devoir avoir encore plus de courage pour la suite.

A Ces mots il sortit suivi des autres membres.

Une semaine après elle décida de retourner sur sa terre natale et voir si possible ses grands-parents maternel. Expérant qu'avec les années passé, ils l'accepteraient. Elle partit à l'aube emportant ce qu'elle pouvait prendre et laissant posser dans un coin un mot :

"Je pars faire un pélerinage sur ma terre natale. Je ne reviendrai qu'après avoir mit au monde mon enfant et celui de Flam. Bonne chance à tous!"

Au moment même où elle allait pousser la porte pour partir, Elblaï l'interrompit, le mot à la main. Et l'interpella tout bas.

Elblaï : Grande louve tu ne vas pas partir comme ça?

Clytemnestre : Si je part. Et si tu veux t'assurer que tout ira bien accompagne moi jusqu'à la frontière.

Elblaï : Mais pourquoi veux tu aller à la frontière?

Clytemnestre : Je veux retourner dans la contrée où j'ai été élevée. Tu ne l'as donc pas lu sur mon mot?

Elblaï : Non, il fait trop sombre pour lire. Je t'accompagnerai malgré ton refus jusqu'au bout de ton voyage.

Clytemnestre : Soit! Mais je te préviens que je compte y rester longtemps.

Elblaï : sa ne me gêne point.

Clytemnestre et Elblaï partir en direction de la frontière nord d'Arakas. A l'approche Clytemnestre en comme un pincement au coeur. La ligne imaginaire qui séparait les deux contrée était représentée par une riviére, que l'on pouvait traverser à pied sans trop ce mouiller. Ils s'arrêtèrent dans le premier bourg pour demander de quel côté se trouvait le Mont Ragpalhem. Ils mirent deux mois et trois semaines pour y arriver.

La nostalgie s'empara de Clytemnestre sur le chemin, ils avaient traversée les lieux dit où elle avait vécu jusqu'à ses dix ans. Son regard se figea d'un coup devant une ferme.

Clytemnestre : Elblaï, tu vois là - bas la grange?

Elblaï : Oui! Eh ben, quoi?

Clytemnestre : Quand j'étais petite, c'est à l'étage qu'on logeait.

Elblaï : C'est ici qu'on est venu au monde?

Clytemnestre : Oui, mais la batise où loge les occupants est plus récente.

Elblaï : C'est pas comme tu y a vécu?

Clytemnestre : Non, on avait que la grange, avec tout les atraits et inconvénients que sa impliquait.

Elblaï : Viens - on peut toujours leurs demander depuis combien de temps ils sont là? Comment aller au château pour obtenir audience?

Clytemnestre : D'accord, mais il n'est pas garanti que ce soit encore famille qui régne ici.

Ils s'avançérent lentement fessant mine d'être éblouient par les lieux. Un paysan suivi de sa femme s'approchérent.

Paysan : Bonjour Mon seigneur et Madame! Qu'es ce qui améne une aussi jolie dame et un homme de haute stature dans notre région?

Elblaï :Nous sommes là en guise de pélerinage.

Paysan : Il n'y a point de Saint dans la région mes brave gens. Vous avez faite votre voyage pour rien.

Elblaï : Ce n'est pas ce genre de pélerinage. Ma soeur ici présente à vécu ici étant petite et me concernant j'y ai vu le jour, pousser mes premiers cries.

Paysan : Oh! Vous voulez dire que vous êtes la jeune fille qui a été expulsée par notre cher roi?

Clytemnestre : Pourquoi cela?

Femme du paysan : On connaissait bien la famille. Elle était si mignonne, mais elle ne m'a jamais vu. Quand on a appris que le roi vendait la ferme nous l'avons rachetée dans l'espoir de pouvoir vous la rendre un jours.

Clytemnestre : Je craind fort de ne pouvoir vous la reprendre. Je préfer que vous la gardier.

Paysan et sa femme : Veuillez accepter notre hospitalité?

Elblaï : Nous supposons que si l'on refusait sa serai pris comme du mépris. C'est pourquoi nous acceptons.

Les trois mois qui suivirent Elblaï fit les démarches nécessaire pour obtenir audience auprés du roi. L'attente fût longue mais ils purent avoir un entretien avec sa majesté. Ils entrérent dans ce fameux château où Maelise avait grandi. Ils passérent de galerie en galerie, chaque piéces étaient magnifiquement décorées. Enfin ils arrivérent devant la grande porte de la salle d'audience. Ils poussérent la porte et là ils virent cette grande piéce immense avec tout au fond sur son trône le roi qui s'empressa de leurs demander ce qu'ils voulaient :

C'était un vieux monsieur aux cheveux grisonnant, tenant de sa main gauche un sceptre.

Roi : Que voulez - vous jeunes gens?

Elblaï : Nous voudrions tout d'abord savoir depuis combien de temps vous étiez roi de cette contrée?

Roi : Et voilà des jeunes personnes qui osent me demander depuis combien de temps je suis ici? Mes enfants, j'y ai accédé alors que vous n'étiez même pas encore née.

Elblaï : Bien. Voici notre deuxième requête : Avez vous une descendance?

Roi : Comme cela est stupide. Voulez vous que je vous céde ma place?

Clytemnestre : Non, mon seigneur, c'est juste pour ammener petit à petit à l'une de nos principale requête.

Roi : Bien, Alors j'ai une fille qui s'est mariée avec un paysan et je regrette aujoursd'hui de les avoirs chassé, elle , son époux et l'enfant qu'ils avaient recueillis. Ils venaient d'être victime de la disparition mystérieuse de leurs deux premiers enfants. Mais dite m'en plus sur les raisons de ces deux questions?

Clytemnestre : La premiére, et ceci vous surprendra. Cette enfant reccueillit dont vous avez parlez et qui vivait à la ferme est aujoursd'hui présente devant vous.

Elblaï : La deuxième et que l'un dés deux enfants disparut ce tient aussi devant vous.

Elblaï / Clytemnestre : La troisiéme est que nous nous sommes tous retrouvés dans le même pays. Inutile de demander où est notre soeur. Suite a des circontance personnel, elle partie en voyage et nous ne savons quand elle reviendra.

Elblaï : La quatriéme: Grande Louve ici présente porte l'enfant de l'homme qu'elle a aimé et épousé. Mais récemment, elle le perdis..

Clytemnestre : ...Du moin c'est ce qu'on a pu constater.

Elblaï : Donc il disparut dans des circonstance qu'on peut qualifier d'horrible.

Roi : Bien, je voit que la famille s'agrandi. Mais où sont Maelise et Stéphane? Auraient - ils peur de moi?

Elblaï / Clytemnestre : Loin de là mon seigneur. Mais nous vous prions, de ne point nous chasser.

Roi : Vous chasser? Non, j'ai fait cette erreur une fois, je ne la referrai pas une deuxième fois. Je vous accueil donc parmis nous. A quand la venu de ce bébé?

Clytemnestre : Dans environ un mois.

Roi : Je vais stopper mes audiences ici pour aujoursd'hui. Faites préparer deux chambres. Les enfants qu'en a vous suivez moi.

Il le suivirent à travers les couloirs du château. Il les emmenat tout d'abord se restaurer, puis ensuite chacun dans leurs suites. La suite où était Clytemnestre, était l'ancienne chambre de sa mère. Leurs grand - père fit venir leurs affaires qui étaient resté à la ferme. La porte se referma mais au bout d'une vinghtaine de minutes environs, elle se rouvrit. Une femme âgée au cheveux long grisé apparu derrière la porte. Elle tenait un coffret. Et dit à Clytemnestre après avoir refermé la porte.

Femme âgée : Bonjour mon enfant, j'ai appris par ton grand - père que tu étais revenu au pays. Je viens d'aller voir ton frère. Comment vas ta mère? Elle n'est pas venue avec toi? Où as tu vécu ces seize dernière années? Elblaï m'a raconté ce qu'il avait vécu.

Clytemnestre : Pour tout résumer, maman est morte sur le chemin qui méne à Ligthaven. Pendant quatre années nous avons voyagé de ville en ville.A mes dix ans jusqu'à mes seize ans, je fus envoyer à l'école des mages et de sorcellerie. Puis dans une embuscade père et mère ont été tués. Les brigands m'ont emmenée chez eux où je vécue jusqu'à la mort de leur chef sous haute surveillance. Pour finir, je rencontrai un jeune mage avec lequel je fus fiancée. Je fus serveuse jusqu'à ce que le chef du clan des Défenseurs de la Lame me remarque...

Sur ce elle fût coupé dans son récit.

Grand - mère : Tu as donc vécu des tas de péripéties. Je voulais t'offrir un cadeau que ton peuple a déposé il y a un mois.

Clytemnestre : C'est quoi?

Grand - mère : Ouvre la boite. Elle est née, il y a à peine deux semaines.

Elle ouvrit la boite et y découvris un bébé dragon. C'était une magnifique dragonne aux yeux et au teint bleues - vert. Sa grand - mére commença à lui raconter comment elle avait été recueilli par ses parents suite à l'enlévement de leurs deux premiers enfants.

Un mois plus tard elle mit au monde deux adorables enfants : Gaïa et Hypdirk. Ce fut dur, difficile, long, on ne sait combien de temps mais ç a lui parut être une éternité. Au bout de deux mois la famille leurs conseilla de repartir pour Arakas et qu'ils se chargeraient de l'éducation des enfants. Clytemnestre refusa leurs propositions. Elblaï et Clytemnestre attendirent deux semaines avant de partir en direction d'Arakas avec comme compagnie les enfants et la petite dragonne "Lorkna". Ils se firent escorter par la garde royale jusqu'à la frontiére.

---- une suite ou clytemnestre change de nom du à une possession ----
(ne pas trop faire attention aux noms des villes et lieux, ceci n'ont pas été mis à jours)

Clytemnestre possédée


Clytemnestre fût recueilli tout bébé par une famille de noble. Elle grandit jusqu'à ses dix ans dans une atmosphère d'opulence et de festivité en tout genre. A dix ans celle-ci développa quelques don de magie et un esprit de guerrière bien posé. Suite à une épidémies et une catastrophe naturel, ses parents dure stopper les cours privés pour Clytemnestre et l'envoyer dans l'une dés dernières académie encore existante en t'en que pensionnaire pour ses six prochaines années. Pendant ce temps ses parents devaient s'acharner aux champs et autre besogne dont ils n'était point habituer. Clytemnestre fût une élèves brillante, malgré son tempérament asser fort et de défiance envers ses camarades de classe qu'elle envoyait souvent à l'infirmerie, qu'elle se servait pour s'entraîner. Ses professeurs trouvèrent l'idée de lui faire apprendre au finale toutes les matières pouvant être enseignées dans l'académie. Pendant la durée de ses études elle fît connaissance d'un jeune mage, Flam, et d'un jeune élèves douer pour ses pratiques de la nécromancien appliquée, Rayzen. Tout trois unis comme frère et soeur. Au bout de la sixième année il eu la grande remise des diplômes, Clytemnestre eu le grand honneur de recevoir des félicitations, des troffés pour avoir obtenue d'excellentes notes aux examens de fin d'années. Certains de ses professeurs lui remirent des manuscrits anciens...

Les parents de Clytemnestre étaient fière de leur fille. Flam et Rayzen profitèrent que tout le monde soit présent pour présenter Clytemnestre à leurs famille d'origine modeste. Les trois compérent échangèrent leurs coordonnées. Puis chacun partis de son côté promettant de ce recontacter ou de passer ce voir. Clytemnestre et ses parents prirent la direction de leurs demeure. Pendant la première année, elle aida à remettre sur pied l'exploitation familiale. Flam profita d'une visite pour demander Clytemnestre comme épouse. Il y eu quelques jours après une cérémonie splendide. Rayzen, Flam et Clytemnestre s'éloignèrent dans un endroit tranquille, une ancienne cachette de celle-ci de sa jeunesse. Ainsi, ils purent discuter entre eux. Les deux jeunes homme proposèrent à leur amie des les rejoindre parmi les Défenseurs de la Lame. Les défenseurs de la lame, était à l'époque une grande guilde servant sont Roy pour la justice et défendait leurs prochains. Ils se firent une promesse. Celle-ci était que ci l'un dés deux jeunes homme devait périr l'autre devrait protéger Clytemnestre et qu'ils la protégeraient jusqu'à leurs mort. Clytemnestre demanda un temps de réflexion. Puis tout trois revinrent à la propriété. La musique avait cessé, un silence in normale régnait mystérieusement. Arrivée dans la cours Clytemnestre se mit à crier d'horreur. Flam, lui fît détourner son regard et tout en l'accompagnant dans sa chambre demanda à Rayzen de commencer à s'occuper de tout mettre en ordre. Dans la chambre, il essaya en vin de calmer Clytemnestre et de surtout lui faire faire ses bagages. Il fallait quitter se lieu maudit, souillé. Quand ils redescendirent, Flam alla finir d'aider Rayzen. Les dernières images de leurs familles seraient des corps inertes gisants et baignant dans une marre de sang. Quelques heures après ils partirent. Arrivé en ville, ils cherchèrent et intégrèrent la grande guilde des défenseurs de la lame. Ils renforcèrent leurs promesse. Au bout de deux ans Flam fût victime d'une nouvelle recrue nommé Mjollnir qui avait flasher sur Clytemnestre et d'une jalousie maladive. Ne supportant pas que celle-ci ne s'intéresse guère à lui. Rayzen comme promis prit la suite de Flam et se maria avec Clytemnestre. Ce qui renforça Mjollnir dans sa détermination à s'approprier Clytemnestre. Pendant ce temps dans le royaume il y eu un grand bouleversement le Roy fût évincé par un usurpateur le Chevalier Alexandre, plus connu sous le diminutif le CA. Celui-ci proclama des lois de type dictatoriale. Suite à des problèmes avec certains membres de la guilde Clytemnestre fût contrainte de quitter les défenseurs de la lame, Rayzen la suivie dans sa décisions. Peut de temps après on appris la dissolution des défenseurs de la lame suite à une nouvelle lois du CA et à quelques problèmes avec certaines recrues déterminé au pouvoir. Dont Mjollnir qui pensait qu'en montant au pouvoir, il pourrai retrouver Clytemnestre et Rayzen et éliminer celui-ci pour toujours.

Il se mit donc à la recherche du couple. Celui-ci ayant trouvé refuge dans des grottes, avec certains anciens membres des défenseurs de la lame qui les avaient rejoint suite à la dissolution. Une nouvelle guilde était en phase de création la Sword Confrontation (SC).Un matin Clytemnestre fit inquiète de ne point revoir venir Rayzen de sa ronde habituel de la nuit. Mjollnir se tenait là devant l'entrée avec un bout de la robe de Rayzen. Mjollnir s'empressa de tirer Clytemnestre par le bras et de l'emmener de force jusqu'au temple pour l'épouser. Il avait tout prévus pour l'obliger à devenir sa femme. Au temple, il lui chuchota: tu vois les hommes qui sont posté de par et d'autre? Si tu oses dire que tu refuses, l'un ou plusieurs de tes compagnons mourra. Au moment où le prêtre lui demanda si elle voulait être l'épouse de Mjollnir, accepta en pleurant, celui-ci prenant ses larmes pour des larmes de joie. Clytemnestre fît venir les enfants qu'elle avait adopté avec Flam et Rayzen. Ce qui rendit Mjollnir d'une cruauté incontrôlable. Son côté nécromancien fessait trembler Clytemnestre. Ce qui la poussa à le tuer, pensant trouver une échappatoire. Mais Mjollnir en profita pour prononcer une incantation et faire entrer son esprit dans le Corp de Clytemnestre. Elle fût soudain incontrôlable, des tatouages apparaissaient d'un coup sur son corps. Pendant un mois elle fît beaucoup de victimes dont les enfants qu'elle avait adopté. Les anciens défenseurs durent se mettre à dix pour l'empêcher de continuer ses atrocités et l'emmener voir les prêtres pour lui jeter un contre - sort pour la calmer. Les tatouages disparurent. Elle n'avait point de souvenir de ce qui c'était passé. Elle prit une lourde décision de partir loin de ses terres, rompre avec son passé. Au moment de son départ le CA avait décidé d'envoyer en exil toute guilde et personnes restant fidèle au Roy. C'est ainsi que Clytemnestre arriva sur les terres de Goldmoon. Un peu perdu au début mais elle prit vite ses repères sur l'île d'Arakas. Depuis son histoire avec Mjollnir, elle avait renforcé sa fois envers Artherk. Avant son départ on l'avait mise en garde et raconté en vague son comportement. Puis surtout le temps qu'ils avaient pris pour la retrouver et la maîtriser. Son seul soucis était que le contre - sort ce brise et que l'esprit de Mjollnir se libère. Ne l'ayant point eu vivante, par ce sort il voulait la contrôler et la faire souffrir. Quand elle arriva à Silversky sur l'île de Raven's Dust, elle prit connaissance des affiches de recrutement pour la Garde Royale. Cherchant un endroit où s'abriter, elle demanda aux prêtres du temple. Ceux-ci ne refusèrent point et lui fournir les parchemins nécessaires pour qu'elle puisse rédiger sa lettre de demande. Elle se demandai au fond d'elle que ce passerai - t il si le contre - sort venais à ce briser pendant son futur entretien! La peur l'envahie d'un coup. Elle alla se coucher attendant la suite des événements...etc...

J'aime bien :]

C'est joyeux et tout !

Merci ^^
Et ouais j'ai toujours de l'inspiration très "peace-and-love-hippy-dippy-flower-power-be-nice-and-sing-of-eternal-spring" :O

Allez tant que j'y suis, un court récit d'un truc qui c'est vraiment passé IG mais un peu romancé et traduit en anglais parce qu'à l'époque où je l'avais écrit en français j'avais heu disons 16 ans et que le style était heu disons chiant et moche. Là c'est sans doute toujours chiant mais j'espère moins moche ^^

Ca remonte à mes débuts de wow, époque vanilla dirais-je, quand j'avais reroll un elfe de la nuit rogue nommé Shïntaro (nom trouvé dans le clan des Otoris) mais je m'éloigne. Que les anglophobes s'éloignent aussi x)

Wanted : Hogger

I was sneaking around the gnoll camp, passing through most of them unnoticed and looking for their leader. My target was indeed Hogger, a beast as strong as evil. Luckily, I met two young warriors also interested in that hunt. The monster was responsible for numerous attacks against the inhabitants nearby and we decided to join our forces to end that threat. Then, with those two hot-blooded humans I could do nothing but forget about infiltration, and I joined them slaying those dog-like creatures. When our blades could drink no more blood, we realized that we had reached the other side of the camp. There was no Hogger in sight, just scattered gnoll bodies lying in the dust all around us. In fact a group of those beasts remained, but not for long as I was looking at my allies ready to charge. At that exact moment, I saw Hogger come out from behind a tree. I just screamed “Look out!” and vanished into the shadows while the monster rushed towards my companions. Surprised, they turned round and started to fight but the remaining group of gnolls attacked them from behind.

Nobody could see me but for me, it was like looking at a battle already lost, and for a second I wondered if I couldn't just escape silently. Well, I'm not yet that kind of coward. I crept unnoticed behind Hogger and stabbed him with all my strength. Unfortunately it was not enough and one of my allies died under the beasts' assault. While the group of gnolls focused on the survivor, Hogger turned round and attacked me with fury. Soon the last warrior perished and I found myself fighting alone those ugly creatures. No more questions. Only skill. And too little time. I tried to dodge all their strikes while I focused on the weak parts of Hogger's armour. I could see fear in his eyes when it broke into pieces. Then, evisceration.

The beast fell down and I started to run while the others gnolls were still surprised. But I was too tired and soon they caught me. Suddenly, a mighty paladin jumped among my enemies and slew them with his great hammer of war. Still stunt by the fight, I realized that I was still alive. The kind servant of Light was even able to bring my companions back from the dead and then we celebrated our victory and congratulated each other. Having cut one of Hogger's paw I finally left the humans to their delight and went to Goldshire to claim my reward. In the end I remain what I am: a rogue.

Je devais être lvl 13 et les deux noobs de guerriers lvl 10. Et y'a vraiment un palouf lvl 22 ou 23 qui passait par là à ce moment et qui m'a sauvé les miches ^^